• C'est la fête du mouton, en arabe littéraire. En arabe oral, on utilise le terme "Aïdel kébir".Chaque année, les familles achètent un mouton vivant ou plus, quitte à s'endetter, afin de le mettre à mort selon le rituel : égorgement puis dépeçage et découpage. Le jour même et les jours suivants sont consacrés à la consommation du mouton sous toutes ses formes -viande et abats- : brochettes avec les intestins, avec le foie, tagine, couscous etc.



  • L'autre vêtement de dessus du costume traditionnel. Sorte de manteau ou de robe longue sans capuche, à encolure ronde, qui s'ouvre par le devant et se serre à la taille. Ouverte également aux manches. Variations infinies sur le thème... difficile parfois de dire ce qui n'est pas un caftan.



  • Monnaie marocaine. 1 dh vaut envion 0,1 €.

    • 1 baguette de pain : 1,10 dh
    • 1 café en salle : 10 à 20 dh
    • Course moyenne en taxi : 5 à 7 dh à l'intérieur de Casablanca.
    • Salaire minimum légal : 1 500 dh/mois


  • Djellaba : élément du costume traditionnel, robe longue à capuche et entrouvert sur le devant. Portée aussi bien par les hommes que les femmes au dessus de leurs vêtements, on en trouve de tous les tissus, de plusieurs longueurs, plus ou moins cintrées en fonction des goûts et de la mode. En ce moment, la djellaba cintré courte, portée sur un jean avec des bottes à talons, fait fureur chez les jeunes femmes branchées. Voir caftan.

  • Le foulard que portent les femmes musulmanes pour cacher leur chevelure aux regards concupiscents. Elles le nouent autour du cou, généralement ou bien l'attachent de façon plus élaborée à l'aide d'épingles selon leur propre coquetterie. Ne pas confondre avec le tchador qui descend sous les épaules et couvre le visage.